SPINNAKER

215 et 19 ça vous dit quelque chose ?
Je vais vous dire sans plus attendre ce que ces deux nombres représentent .
Le premier, 219, représente le nombre d’appareils photos numériques qu’un grand site de vente par internet propose.
Le second, vous l’aurez deviné, représente le nombre d’appareils photos argentiques proposés ! 19 !!!
Enorme non ?
La presse photographique en parle, s'émeut. Le premier magazine de l'image en Europe, l'excellent "Chasseur d'Images" se pose la question en 2005 !
Vous vous rendez compte que dans 5 ans l’offre des argentiques sera nulle à n’en pas douter.
Ainsi va la technologie qui fait table rase du passé, du passé seulement en terme de décennie. Autrefois il eu fallut un siècle pour qu’on abandonne ce qu’on avait inventé par le passé.
Mais sans aller jusqu’à ces époques reculées, rappelez vous le cinéma 9 m/m, puis le 8 m/m et enfin le super-huit. Evidemment je vous parle là « d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître …. », mais tout de même trouvez un projecteur pour visionner vos films, autant démarcher les antiquaires et ça sera plus vite fait !
C’est ainsi, le numérique va remplacer définitivement l’argentique !
Ne soyez pas déçus, je parle aux anciens, évidemment, ceux qui attendaient tremblant de voir leur bobines de films de 15 mètres, arrivant un mois après les vacances ou leurs photos (mêmes les floues qui étaient gentiment à payer), et bien maintenant plus d’attente, plus de plans ratés, plus de photos floues ou noires ou surexposées.
Vous regardez instantanément ce que vous venez de prendre.
Réjouissez vous de pouvoir contrôler immédiatement vos prises de vues, et de choisir de les garder ou non.
Mais me direz vous la qualité ?
Et bien là que se place le succès de ces nouvelles technologies, c’est égal sinon nettement meilleur !
En plus c’est plus pratique : plus de films à acheter, surtout lorsqu’on se trouve dans un endroit perdu. Plus de développement obligé.
C’est génial, je vous le dit c’est génial, mais tout de même que vais-je faire de mes vieux souvenirs ? Ah si, le labo spécialisé qui vous numérise vos anciens films acétate.
Je crois que je vais y penser un jour et faire des économies dès maintenant.

Ce message même est un pur produit numérique alors ?

PS . : et moi encore je ne vous ai pas tout dit ! J’ai dans ma cave un labo photo ultra performant, alors de quoi devrais-je me plaindre me direz vous ?
Si, je peux me plaindre car je ne trouve plus mes produits chimiques favoris pour développer mes négatifs et mes papiers, , et aussi, naturellement, mon stock de papier photo s’est réduit comme peau de chagrin.
Non décidemment, le numérique, c’est le digne descendant d’Attila !

Je suis tombé sur une émission assez curieuse intitulée « les hommes varan »
En fait c’est une peuplade d’Asie qui vénère un varan au point de lui consacrer une fête croyant qu’il est un relais de Dieu vers leur peuple.
Bref ! Ce n’est pas là le sujet de ce petit texte, seulement en les regardant j’ai vu le reflet ni plus ni moins de notre monde à nous.
En effet il y avait le sorcier , comment devient-on sorcier ? Il y avait le maître des cérémonies, en fait le prêtre, celui qui sait les usages des rituels ancestraux, il y avait la foule et dedans, les guerriers, les cultivateurs ou ceux préposés à la cueillette, les agriculteurs pour l’élevage du bétail de trait, les chasseurs pour le gibier, les femmes pour la famille, les enfants et la préparation de la nourriture, en fait tout ce que nous retrouvons dans notre monde à quelques détails près !
Je me suis dit que dans la constitution d’un peuple, rustique ou moderne chacun doit trouver sa place. Mais, mais …….
C’est pareil pour nous. Le travailleur à pris la place du chasseur ,etc.. etc…

Cette similitude dépasse même les rôles sociaux, pour s’appliquer dans une configuration d’une autre nature : celle des caractères !

J’avais déjà éprouvé une sensation similaire, quoique différente, sur des groupes réunis.
Lorsque je co-animais des séminaires, je m’étais fait la remarque suivante : quelque soit les groupes et la nature du séminaire nous retrouvons toujours, je dis bien toujours, la même disposition humaine.
Vous avez dans n’importe quel groupe la composition suivante et invariable d’un certain nombre de personnes qui sont venues pour apprendre sérieusement et s’enrichir de nouvelles données, puis un certain nombre de contestataires ergoteurs du genre ça sert à rien tout ça, c’est de la connerie, aussi un certain nombre de résistants qui ne disent rien ne participent jamais, mais dont l’attitude désespère les animateurs par une inertie malveillante, et toujours au moins un pitre qui fout la pagaille avec ses remarques oiseuses qu’il pense être d’esprit !
Vous ne me croyez pas ?
Avez-vous déjà fait un voyage organisé ? Vous voyez on retrouve les mêmes !
Voyons, il y a ceux qui sont sérieux et disciplinés, qui sont toujours à l’heure, ceux qui râlent tout le temps car rien n’est à la hauteur de leur espérance, ceux qui n’ont qu’un souci d’indépendance et que l’on attend à chaque déplacement, ceux qui sont des rigolards gras, et ceux qui formant un tout petit groupe, font bande à part.
Subitement je me rend compte que je dois nécessairement faire partie d’un de ces groupes ! Obligé ! Ne comptez pas sur moi pour vous dire comment je réagis en société ! En fait déjà cet écrit me situe … J’aurais bien dû me taire et ne rien écrire!

Mes photographes préférés

Je ne peux pas résister à vous donner envie d’acheter pour vous-mêmes ou pour offrir un certains nombre de livres de photographes illustres qui ont, par leur travail élevé la photographie au rang d’art.
Rendre compte de son époque avec tant de vérité, d’honnêteté, et de talent mérite que cela soit souligné.
La liste qui va suivre ne prétend pas rendre compte totalement du travail de tous les photographes, elle n’a que le désir de mettre en avant ceux qui m’ont séduit, ému ou enthousiasmé.
Il s’agit là, vous l’auriez compris de mes choix sans plus.
Je classe ces artistes en trois catégories : les témoins, les esthètes, et les inconnus.
Les témoins :
Porter son travail personnel à rendre compte de son époque est finalement allier l’humanité à l’esthétisme pour émouvoir, comprendre, s’intéresser à autrui.
En tout premier lieu je classe Sabine Weiss comme le meilleur, (la meilleure) photographe du siècle passé . Le livre « Sabine Weiss » édition « De la Martinière » est remarquable de ce point de vue. Viennent ensuite Izis, >
« IZIS, photographies de 1944 à 1980 » édition « De la Martinière »,
Elliott Erwitt et ses livres pleins de tendresse et d’humour tels que « Photographies 1946-1988 » Edition « Nathan images » et le sublime « Vie de chiens » chez « Arthaud ».

Ensuite il y a l’esthétisme par l’image sublimée du corps de la femme et il y en a un qui dépasse à mon avis tous les autres ayant traité ce sujet.
Il s’agit de Jean Loup Sieff, homme sensible, maître incontesté de la lumière, homme d’esprit s’il en fût (lire le texte qui précède les images dans le livre « Jean Loup Sieff », édition « Contrejour » »), et dont les multiples ouvrages resteront pour tous les apprentis photographes, le meilleur des exemples.
Je vous cite le dernier, je crois, avant sa disparition et qui se nomme « Faites comme si je n’étais pas là » édition « De la Martinière »

Il y a d’autres grands photographes que vous pouvez adorer, mais comme je ne les aime pas trop, (soit les personnages soit leurs travaux), je ne les citerais donc pas. Après tout c’est ma liste !

Et pour finir un trait de Jean Loup Sieff au sujet des photographies :

« ….la définition de l’art en général ou de la photographie en particulier restera aussi controversée que le sexe des anges. Pour simplifier ce débat éternel et vain, je propose, sans grand espoir d’être suivi, de classer les photographies en deux grandes familles : les bonnes et les mauvaises. »

Pourquoi ?
Parce que le ciel est bleu et pourtant pour nous, à ce moment même, il est gris !
spinnaker

Homothétie

Hier, j’ai noté quelque chose, disons, que je trouvais de curieux….
Dans un même ordre d’idées la réaction des gens dans une autre situation, est à comparer, dans ce qu’elle a de curieux également. Cette fois c’est plutôt drôle ! Enfin !
Une de nos amies a un chien de race York.
Nous, nous avons un chien de race Caniche.
Chacun a crée un espace sur son vélo pour circuler avec eux.
Là aussi, plusieurs réactions lorsque nous nous promenons à vélo avec nos chiens dessus, dans leur petite caisse.
- Il y a ceux que ce spectacle laisse complètement froid
- Il y a ceux qui trouvent ça drôle et riants, sont prêts à applaudire, attendris devant le spectacle des deux vélos porteur de chiens.
- Et puis ceux qui réagissent soit devant le spectacle offert par le York, indifférents aux Caniches, et ceux au contraire qui sont intéressés par la race Caniche.
Or ce sont ces deux derniers cas que je trouve également curieux.
Alors cela se traduit de la façon suivante :
Ceux qui sont York ne parlent qu’à notre amie, parlent de leur chien présent ou passé, le même, voyez vous, le vôtre qu’est ce qu’il est beau et patati et patata…
Ils n’ont aucune attention pour nous et notre Caniche. Nous sommes invisibles !
Mais, et c’est là que la situation devient très drôle, en cas de rencontre avec des gens-Caniches, la situation s’inverse. Ils n’ont de discours qu’avec nous, ne parle que de Caniches, et pas un seul regard pour le York.
Ne peut-on donc aimer les animaux en général et tous les chiens en particulier toutes races confondues ?
Je peux vous affirmer tout de suite que nous sommes de ceux qui trouveraient cela émouvants.

Tout cela est riche d’enseignements sur le comportement humain prompt à identifier dans son environnement une quelconque affinité avec ses choix, et sans plus de discernement d’ailleurs, immédiatement, à adhérer pour se sentir inclus dans un groupe.
Ce phénomène très humain que l’on peut retrouver en politique, au travail, dans une religion, partout enfin, peut amener des groupes à se renforcer fortement et devenir dans certains cas dangereux, mais aussi, il faut bien le dire dans d’autres cas, travailler au bien de l’humanité.
Tout est à craindre comme tout est à espérer. Le souhaitable côtoie le haïssable.
Mais c’est ainsi !

Curieux !!!

Nous faisons bed & breakfast chez nous et je crois en avoir déjà touché quelque chose anciennement sur ce blog.
Bref ! Ce n’est pas le sujet, du moins directement, mais à regarder les « clients » qui fréquentent notre home, je me suis aperçu de quelque chose de curieux.
Voici donc.
Je dois vous dire que pour moi comme pour ma femme, l’art tiens un espace important dans notre vie et pour tout dire un espace physique mural remarquable.
Nos murs, l’escalier, l’entrée, le salon, la chambre, et j’en oublie, se parent de multiples toiles de multiples artistes. Un de nos murs, appelé ‘mur sculpture’ tint pas moins d’une trentaine de petites sculptures en bronze, d’artistes différents. Des anciens comme des contemporains.

Je ne vous dit pas cela pour nous la jouer collectionneurs, mais pour évoquer en quoi je trouve ce qui suit de curieux.
Nous distinguons trois sortes de visiteurs :
- Ceux que l’on accueille et qui, restant une demie heure avec nous dans notre salon où se trouvent ce que j’ai évoqué plus haut, n’ont aucun regard pour ces trésors et montent dans leur chambre plus préoccupés de savoir où ils peuvent aller dîner …
- Ceux qui se montrant polis se crois obligés de dire : ah ! vous aimez la peinture ! Ou encore par cet homme déclarant : vous avez de beaux bibelots ! Ou enfin cet autre voyant nos bronzes patinés noirs : vous avez été en Afrique ? C’est de l’ébène ?
- Et puis, ! Et puis ! Il y a ceux qui, contemplant tableaux et sculptures commentent, donnent leur sentiment, questionnent sur l’artiste, visiblement sont touchés par certaines œuvres, moins par d’autres. Là, c’est une population rare !
Alors me direz-vous, en quoi cela est-il curieux ?
Et bien vous l’avez sans doute deviné, la grande majorité appartient aux deux premiers cas. Je trouve curieux en effet que l’art ne suscite pas plus d’émotions. Je suis effaré de voir que beaucoup ne savent pas reconnaître un bronze d’une sculpture arborigène, surtout quand celui-ci représente un paysan du début du siècle dernier retroussant ses manches, de Dalou !?
Et bien oui je trouve ça curieux et pourquoi pas tout dire affligeant, car en fait il n’est aucunement nécessaire d’avoir des œuvres d’art chez soi, pour aimer l’art.
Vous ne trouvez pas ?

C’est mon index gauche qui cherche les touches du clavier et qui les frappe !
Il n’a pas l’habitude de prendre en charge la totalité des touches et en plus moi, je suis droitier !
Qu’importe je me dois à tous ces nouveaux visiteurs qui sont venus voir ma prose grâce à mon fils.
Malchance mon accident m’a rendu indisponible pour l’écriture momentanément (le 21 août), mais cela dit, ce n’est que partie remise et je vous promets quelques textes sympa et quelques coups de gueules !
Alors merci à tous, vous êtes supers et bien sûr j’irais visiter vos blogs.
Salut !!!

Problème :
Je n’arrive pas à mettre une nouvelle photo sur mon blog, histoire de changer.
En effet lorsque je clique sur l’indication « à propos » pour changer ma photo, j’ai un message d’erreur et mon blog disparaît de mon écran ce qui fait que je ne peux même pas accéder à l’indication « parcourir » !
Quelqu’un a t’il déjà eu ce problème ?
Quelqu’un peut-il me dire pourquoi et comment faire pour remédier à ce problème ? Merci d’avance.
Spinnaker

L’ART « INSUEL » ?

Il me souvient alors que j’avais 23 ans et des idées perplexes sur l’art et plus particulièrement l’art pictural, avoir eu une sorte de révélation en observant un chantier marin .
Quand je dit révélation, ce n’est pas que je me prenne pour un quelconque sage ou gourou jugeant du haut de sa suffisance les choses qui l’entoure ? Non !
J’étais encore un peu coincé et d’un esprit pour le moins catégorique, ce qui vous l’avourez n’est pas l’apanage de la sagesse, quoique…..
Bref ! Je parcourais ce chantier lorsque je tombais face à un panneau de bois fait de planches jointes barbouillées de peintures diverses. Ces taches et ses aplats de couleurs vives avaient été placées au hasard de peintres qui soit, dégorgeaient un pinceau trop garni, soit vérifiaient l’aspect d’une couleur obtenue par mélange, soit encore asséchaient une brosse avant d’être nettoyée et rangée.
Cela donnait l’aspect d’une gigantesque palette de peintre.
Pour un quelconque passant, rien là de quoi se troubler. Mais moi, c’était mal me connaître. J’étais comme ces chiens de chasse à l’arrêt, médusé et troublé : pour moi j’étais devant une œuvre d’art réelle !
Le panneau faisant bien deux mètres sur trois. Il n’était guère possible alors de la mettre sur ma bicyclette pour l’emporter. De plus je n’ai pas l’esprit du voleur alors j’abandonnais aussitôt l’idée de l’acquérir.
Plusieurs fois cet été là je suis venu le contempler.
Puis je suis retourné à Paris où je vivais.
L’année suivante, à peine arrivé, je me suis précipité pour le revoir. Hélas, il avait disparu et nul ne sait ce qu’il était devenu. Dans quelques brasiers peut-être ?
Vous savez j’y pense quelque fois, des années après.
C’était un patchwork de peintures sans plus ou une œuvre due au hasard s’étant créée à l’insu des hommes qui en étaient les auteurs inconscients. C’est ça, à l’insu !
Je l’avais baptisé ART INSUEL

Voilà une preuve indiscutable, non ?

Merci ça va mieux. Merci aux deux blogueurs qui m’ont posté un message ! Quant aux autres, la famille, les copains, les amis, les voisins, leurs chiens, leurs chats et même leurs perroquets s’ils en ont, je les remercie de leurs encouragements.
Je vais mieux et pour prouver que je suis vaillant, je vous envoie une photographie de mon dos (je sais, il y a mieux !)
Je pense au policier à qui je disais en remplissant ce matin ma déposition-constat, que j’écrivais un blog dans lequel j’avais raconté ma mésaventure motorisée et qui me répondit net « Ah ! Et vous croyez que ça va intéresser quelqu’un ? »
Bien sûr que ça n’intéresse personne si ce n’est peut-être ceux qui comme moi ont vécu la même mésaventure !
J’ai quand même écrit ce texte … et si personne ne le lit ce n’est pas grave, moi je le lirai plusieurs fois pour compenser !
On peut bien rigoler un peu …..

Aujourd’hui j’ai eu un accident avec ma moto.
En revenant de Cannes vers 11.30 h un véhicule m’a coupé la route et patatras !
En fait je suivait un véhicule de vacanciers à 50 km heure environ, pas plus et alors que rien devant lui ne le laissait prévoir celui-ci freine fortement. Je freine aussi bien sûr et pensant qu’il se stoppait là, je me mets en devoir de le doubler quand il amorce vivement une manœuvre pour traverser la chaussée, car il venait de découvrir une place le long du trottoir de l’autre coté de la chaussée. Il faut savoir que les places proches de la plage sont rares et sa manœuvre totalement interdite, nez face à la circulation à eu pour résultante de me coincer sur les véhicules en stationnement en face. Propulsé sur le sol je me suis relevé avec un mal fou à l’épaule droite. La réaction du chauffard « j’avais pourtant mis mon clignotant ».
Les pompiers, la police, sont arrivés en 10 minutes. Embarqué sur une pim pom, aussi rouge que bruyante, me voilà aux urgences avec moultes patients plus ou moins amochés : il est midi quinze !
Je n’en sortirais qu’à 17.00 Heures ! Le ticket d’entrée en médecine n’est pas l’heure d’arrivée mais l’urgence ! Normal ! Mais c’est quand même long.
J’ai une attèle qui me bloque l’épaule et je sais seulement que je vais mal dormir cette nuit !
J’en ai pour trois semaines.
Alors si vous êtes en moto, de grâce essayez d’être super vigilants, tout, même l’inimaginable peut surgir devant vous. Et comme disent mes fils « papa essaye d’anticiper ». Facile à dire, les garçons, car quand bien même vous vous êtes préparés à tout, il reste le cas extrêmement rare et c’est forcément celui là qui un jour va surgir devant vous !

Je vous rappelle que quatre blogers, aussi inexpérimentés qu'un peu fous, ont tenté suite à un défi lancé comme ça, de s’attaquer au Mont blanc, le plus haut sommet d’Europe. Leur épopée est racontée sur un site et de nombreuses photos somptueuses émaillent ce récit très captivant.
Je vous invite à vous y rendre, c’est magnifique !
http://objectif-montblanc.com
C’est beau les défis ! Cela vous donne du baume au cœur ! Allez-y ! Félicitez ces incroyables jeunes hommes qui au delà de leur inconscience, nous donnent un belle leçon d'enthousiasme et de courage !

Tout comme l’année dernière ….elles sont venues, et elles repartent !
Ah ! Vous ne savez pas de qui je viens de parler ? C’est vrai il y a un an …., ma petite fille (elles sont en fait trois !) mais là une seule, l’aînée, est revenue avec deux de ses meilleures amies (les mêmes que l’année passée), et ce fut encore un véritable enchantement. D’abord elles sont toutes les trois très jolies, toujours agréables et serviables sans le demander, et leur accord fait plaisir à voir : elles s’entendent comme larron en foire !
Leur questionnement sur la vie nous rempli de bonheur, car de ce fait elles nous témoignent une confiance sans limite, confiance que jamais nous ne trahirons trop heureux de ce cadeau.
Comme je le disais, elles nous enchantent et je remercie ma petite fille ici du choix de ses amies.
Alors j’ai refais à un an d’intervalle la même photo de leur départ de l’aéroport de Nice, toujours de dos pour préserver leur anonymat, mais même de dos on ressent leur complicité ne trouvez vous pas ?

Les blogueurs sont parfois extraordinaires et un peu fous cela dit, je vais vous conter l’histoire d’une équipe de quatre blogueurs qui s’est lancé un défi pour le moins étonnant : gravir le plus haut sommet d’Europe, vous l’avez bien lu, oui, le Mont Blanc !
Aucun de ces garçons n’avait à son actif une quelconque expérience de la haute montagne.
Seulement comme vous et moi (peut-être ?) quelques saisons de ski, dans quelques stations bien équipées.
Là c’est tout autre chose ! Gravir un sommet n’est pas mince affaire !
Le défi lancé, et fièrement accepté, ils se mirent pendant un mois, à refaire du sport en salle. Forme oblige !
Et puis il y a quelques jours à peine ils ont mis à exécution leur défi avec l’aide de deux guides de haute montagne.
Ils ont été à la limite de leurs possibilités avec courage et leur périple s’est enfin achevé. Certains ont réussi d’autres ont trop soufferts et ont approché seulement l’ultime but de quelques centaines de mètres !
La morale de cette histoire, est qu’il est nécessaire de se lancer parfois des défis dans cette époque si morose et si plate, et surtout de faire en sorte, avec courage et ténacité, d’en venir à bout.
Bravo à ces quatre hommes hors du commun !
(lisez leur aventure sur un site relais : http://objectif-montblanc.com

A connaître notre dette nationale, à connaître le taux du chômage, à connaître l'inadaptation des jeunes face à l'emploi, croyez-vous messieurs les députés, messieurs les ministres, messieurs de droite ou de gauche, messieurs les syndicalistes de tout poil, que cela vaut la peine de s'invectiver et de tirer à soi la couverture pendant que la France se meurt ?
Croyez vous sincèrement que nous allons vous prendre au sérieux ? Ne pensez vous pas plutôt que votre infantilisme nous mène à une déroute infamante et ridicule ?
Ou vous êtes inconscients ou vous n'êtes pas qualifiés ou pire ne seriez vous intéressés que par votre petite personne. Je le crains fort.
Le plus triste c’est que je ne crois plus que vous puissiez redonner à la France (dont vous vous foutez complètement), la place enviée qui fut la sienne durant des siècles.
Cela s’appelle la Décadence.
Je serais vous, mes nuits seraient blanches non pas par le travail, mais par les remords.
Test : essayez de vous regarder le matin fixement dans le miroir de votre salle de bains, de vous contempler, de vous demander suis-je un homme bien et suis-je à la hauteur de la tâche qui m’est impartie et essayez de tenir votre regard ainsi plusieurs minutes. Si vous y parvenez franchement bravo !

Une blonde se promène et croise un miroir.

Elle pense alors :

- J'ai déjà vu ce visage quelque part... Je suis presque certaine
que je le connais...

Après un moment elle se dit:

- Ah, je sais !!! C'est la connasse qui me fixait chez le coiffeur !

C’est fou ce que les gens se passionnent pour le foot, alors lorsque c’est la coupe du monde n’en parlons pas ….ou plutôt si, j’ai envie d’en parler.
Moi, le foot m’indiffère. Je ne peux rester devant mon écran plus que quelques très petites minutes et je décroche. Je me lève, je trouve quelque chose à faire, lire, bricoler, me servir un café, bref m’échapper. Le foot m’ennuie !
Il faut dire que je prend très mal trois choses qui le caractérise.

D’une part, le fait qu’il soit professionnel et que dans une équipe nationale, se mélange des gens qui viennent d’autres pays. Alors lorsqu’on dit que l’équipe française va faire un match on devrait dire l’équipe achetée et entraînée par la France !

L’autre caractéristique désagréable, ce sont les supporters qui massivement se déplacent et envahissent les stades. Ces ploucs, qui comme des animaux sauvages beuglants, racistes, alcoolisés et toujours prêts à donner de la barre de fer sur le crâne des autres. Sans commentaire. Pour moi l’horreur absolue.

Et puis, et puis, les « salaires » des joueurs stars, des sommets, et également les tractations engagées pour les échanges de joueurs à coup de millions d’euros ! L’indécence totale !!!
Pour ces raisons, le foot m’indiffère, je dirais plus, le foot m’exaspère et me met en colère.

Alors pendant que je tape ce mémo, l’équipe de France dispute dans une pièce voisine, si j’ose dire, un match contre les Coréens.
Je viens tout juste d’apprendre qu’il y a eu match nul. Je m’en fous complètement. Déception totale des aficionados groupés dans l’autre pièce!
Si vous pensez différemment de moi j’en suis sincèrement désolé.
Après tout, chacun est libre de prendre son pied comme il le souhaite.
Vous avez bien compris que je ne prenais pas le mien à partager ce spectacle !
Voilà ! C’est tout !

Ah ! je ne vous avais jamais dit, nous faisons Bed and Breakfast, ce qui nous donne l’occasion de recevoir des étrangers. Surtout des Hollandais, des Anglais, des Allemands mais aussi et surtout des Italiens. Ils ne restent que quelques jours, 2, voire 4 mais parfois plus, jusqu’à 8 jours, mais c’est plus rare. Peu de français utilisent cette forme de séjour et les quelques « échantillons » que nous avons reçus n’ont jamais été à la hauteur. Souvent exigent, mal aimable, le français qui choisi cette solution est décevant. En fait, nous sommes heureux qu’ils ne pratiquent pas ce genre d’étape. Mais c'est dommage, non ?
Il est vrai que les étrangers qui pratiquent le Bed and Breakfast, désirent s’immerger en France, parmi des français, et trouvent super sympa cette forme de contact. Pour nous, ces rapports sont toujours agréables, enrichissants et parfois bien surprenants.
Si vous êtes français, et surtout sympathique faites en l’expérience.
Nous sommes prêts à vous recevoir quelques jours et nous parlerons de nos blogs respectifs, mais pas seulement, la côte d’azur recèle bien d’agréables surprises et la mer comme l’arrière pays, de quoi satisfaire les plus difficiles.
Notre site à tout hasard ?
www.mandchou.com/clients/mandelieu
A vous lire

Et oui je reviens à la charge.
Le livre « Bad business », se trouve référencé par Cultura dans le registre « littérature francophone » et reçois dans le registre « Polar thriller » de la FNAC la distinction « coup de cœur ».
De plus, son auteur, Gin, a ouvert un site original ou les lecteurs internautes préférant ce mode de lecture qu’est l’écran, pourront se régaler à la lecture du livre.
Ce site c’est www.badbusiness.fr
Voilà je voulais vous faire partager mon enthousiasme en sachant bien qu’une telle lecture s’adresse à un public avertit bien sûr.
Sur ce bonne lecture en espérant que, comme moi, que vous serez conquis.