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14/02/2009

Une histoire douloureuse

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Annie et Jean-Jacques Briche n'admettent pas qu’un photocopieur défectueux ait pu les entraîner aussi loin. Après des années d'une procédure ruineuse, ils sont aujourd'hui épuisés et angoissés pour l'avenir.
« Nous sommes ruinés et très fatigués. Nous avons liquidé notre épargne retraite pour payer un avocat, nous avons emprunté pour garder la boutique hors de l'eau et voilà dix ans qu'on travaille sans relâche et sans vacances. Nous n'avons plus un sou et sommes à deux ans de la retraite. »
Terrible bilan pour Annie et Jean-Jacques Briche, installés au coeur du petit centre commercial des Heure Claires à Mandelieu. Ils possèdent là une petite affaire de papeterie-reprographie reprise en 1998. Le point de départ de leur histoire est un simple photocopieur, acquis en leasing en 2002.Une machine hig tech, couleur et laser, qui devait permettre d'assurer 50 % du chiffre d'affaires avec, notamment, des reproductions d'oeuvres d'artistes et des dossiers d'entreprises reliés. La clientèle était là, mais la belle technologie n'a jamais fonctionné.
Le couple, lassé de perdre des clients, a fait une erreur lourde de conséquence. Tout en se retournant contre le fournisseur, Annie et Jean-Jacques ont refusé de payer les traites qu'ils devaient à l'organisme de crédit. Aussitôt GE Capital, société aussi anonyme que multinationale, a enclenché un implacable engrenage et le service des contentieux a fort bien fait son métier, sans état d'âme.
Du tribunal de grande instance au tribunal de commerce et à la Cour d'appel, la note des avocats dépasse aujourd'hui les 13 000 euros. Et la cour de cassation a confirmé la semaine dernière que le préjudice à verser au prêteur se montait à 70 000 e, majorés des intérêts légaux.

Et pourtant, aux " Heures Claires " à Mandelieu, la boutique était pleine de promesses pour le couple venu du Jura en 1999 avec ses deux enfants. Le mari était cadre dans une société de transport qui a fait faillite. Alors, ils ont vendu leur maison pour redémarrer une nouvelle vie. Cette petite affaire leur a plu. Mais tous ces problèmes les ont empêché d'investir, d'aller de l'avant.
Si vous avez un tout petit moment écrivez leur pour les soutenir dans cette douloureuse adversité :Vous avez leur nom, et c’est la « Papeterie aux heures claires » 06210 à Mandelieu.
Merci pour eux.

01/02/2009

Une journée comme ça ...

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Un copain s’adressant à moi me dit à peu près ceci :
« Tiens, s’il fait beau, j’irais bien faire un tour à Gréolières faire du ski, d’autant plus que la météo sera bonne pour cette fin de semaine, nous devrions avoir du soleil ».
« Tu y va seul ? »
« En principe, oui »
« Je peux allez avec toi, si tu n’y vois pas d’inconvénient ? »
« Sans problème, avec plaisir »
« Nous allons où, tu dis ? »
« A Gréolières »
« Ah ? Il y a assez de neige ? Combien de pistes ? C’est loin d’ici ? »


Je vous fait grâce d’un dialogue sans grand intérêt si ce n’est qu’il recèle en lui la promesse d’une journée qui s’annonce super agréable.
Tout d’abord, un copain très sympathique avec moi, de même force en ski, toujours partant. Un temps de rêve avec un ciel bleu de carte postale, une neige d’une qualité exceptionnelle, et bien sûr, un ensoleillement de rêve.
J’aime bien les choses qui se décident vite et qui se déroulent sans problème.
Nous avons skié toute la journée et nous nous sommes arrêtés juste avant la fermeture des pistes, retrouvé nos épouses et je suppose déjà imaginé une prochaine virée dès que le soleil sera de retour d’une façon certaine.
Le plaisir simple à portée de toutes les bourses !
Vous vous demandez sans doute où je suis sur la photo ? L’homme « orange », c’est moi !