17/01/2008
Directives de vie
J’ai trouvé sur un petit livre, 8 règles ou plutôt 8 exercices pratiques.
Je vous soumets cette liste agrémentée de quelques réflexions de-ci de-là, des commentaires en somme !
Bon….allons-y !
1. Je serai aussi joyeux que possible. (bon ! admettons ! J’ai quelques efforts à faire !)
2. J’essaierai de sentir et d’agir un peu plus amicalement envers les autres. (ça va être dur, je n’aime pas les cons !)
3. Je vais moins critiquer et je serai plus tolérant envers les autres, envers leurs fautes, leurs échecs, leurs erreurs. J’interpréterai de la meilleure manière possible leurs actions. (Pourquoi ? C’est bien amusant de critiquer, non ? C’est vrai, je suis parfois cassant !)
4. Dans la mesure du possible je vais agir en pensant « le succès est inévitable et je suis déjà le genre de personne que je désire être ». Je vais agir et sentir comme cette nouvelle personne. (ben, ça ne va pas être de la tarte ! En fait, en confidence, je suis déjà cette nouvelle personne !)
5. Je ne laisserai pas ma propre opinion déteindre sur les faits de manière négative et pessimiste. (ça non alors !)
6. Je vais aussi sourire au mois trois fois par jour. (Ah ? moi je fais plus, mais combien plus rarement aussi !)
7. Quoi qu’il arrive, je réagirai aussi calmement et intelligemment que possible. (ça c’est tout moi, calme et intelligence !)
8. J’ignorerai complètement et je fermerai mon esprit à tous les faits négatifs et pessimistes auxquels je ne peux rien changer. (Je suis un peu lâche comme tout le monde !)
Et vous, alors ? Non ? Vous êtes comme ça ?
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15/01/2008
Le fond, la forme, une stratégie ?
En politique, que l’on soit de gauche ou de droite, simple citoyen ou élu, l’expression telle que je le constate dans les différents médias ou autres interviews, et venant de l’opposition, est variable et la palette verbale va de l’insulte à l’expression modérée voire calme.
Cela me donne envie de donner une note de crédibilité à tous ceux qui s’expriment au travers du discours politique et des échanges verbeux.
De fait, tel opposant ironise, critique, tel autre ridiculise, tel autre enfin insulte, en ce qui me concerne je trouve cela navrant et pitoyable.
Certains opposants, rares par contre, élèvent sans cesse le débat apportant dans leurs critiques des nuances et des apports intelligents, des hauteurs de point de vue, montrant ainsi l’aspect constructif de leurs apports tout en respectant les avis opposés.
Pour ma part, je laisse aux seuls chansonniers l’excuse de leurs excès et le caractère pamphlétaire de leurs tirades, leurs insinuations, et leurs excès de langage.
De même critiquer, qui est bien évidemment porter une attaque personnelle contre des interlocuteurs.
De toute façon, la réponse à une critique nécessite d’apporter une solution exhaustive à l’objet qui a valu cette critique, sinon mieux vaut s’abstenir.
Répondre aux critiques d’idées, ne jamais répondre aux critiques de vie privée, puisque déplacées et surtout faites pour décontenancer et déstabiliser.
Egalement, n’apprenons-nous pas aux commerciaux et vendeurs de tout poil (j’y vois un rapport), de ne pas parler en mal de la concurrence car, leur dit-on, cette attitude éveille chez vos prospects une certaine méfiance qui vous discrédite plus surement qu’elle ne vous valorise.
En France, c’est bien connu, celui qui est critiqué déclenche la curiosité en son endroit et à moins d’être particulièrement convaincant et documenté, on risque d’être discrédité pour tentative malveillante.
De plus, évoquer trop souvent le nom de son concurrent, de par sa répétition, celui-ci s’inscrit insidieusement (effet subliminal) dans la mémoire de ceux que l’on veut convaincre, éveille ainsi leur curiosité et les conduits à s’en intéresser d’avantage.
Enfin, et pour conclure, j’aimerai que tout opposant s’exprime avec distinction évitant d’entrer dans le jeu trop facile de la vulgarité et que la réponse soit emprunte d’une « certaine classe », pour dit-on « ne pas tomber dans le panneau ».
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