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01/10/2007

10 dont 1, 10 dont 1....

Encore un titre confus, en forme d’une énigme mais rassurez-vous c’est encore une fois très simple.
Voilà ! En fait, je voulais exprimer qu’il y a une vingtaine d’années lorsque nous invitions quelques copains à dîner, à la maison il y avait, pour l’exemple, 9 fumeurs et un pisse froid qui ne fumait pas : c’était pour les autres, un emmerdeur (est-ce que je peux ouvrir la fenêtre ?)
Désormais, dans une même configuration, il y a 9 non fumeurs et 1 emmerdeur qui trouve le moyen de nous enfumer grave ( tu ne pourrais pas aller fumer sur le balcon ?)
Les temps ont changé, mais celui qui se retrouve seul est toujours un emmerdeur pour le groupe.
Je dis cela parce que je me suis trouvé ces temps ci à supporter quelqu’un, une femme, qui est une grande fumeuse, et être amené à partager ma voiture pour un trajet d’une petite demie-heure.
421db984d7fce15efc49d1112248ad55.jpgJ’ai eu la nette impression que je transportais dans mon véhicule un immense cendrier rempli d’une multitude de mégots éteints.
Lorsqu’elle est sortie elle a laissé dans son sillage son virtuel cendrier, présent encore pour quelques heures. Un cadeau dont je me serais bien passé.
D’ailleurs, il me revient en mémoire cette journée, il y a trois ou quatre ans, où j’étais allé dans une villa, pour bricoler dans l’intention de rendre service, chez une personne qui consumait allégrement deux, peut-être trois paquets de cigarettes en une journée. Ses doigts trahissaient sa dépendance car, immédiatement, on pouvait remarquer que la nicotine tapissait ses ongles et ses doigts d’une couleur brunâtre très caractéristique.
Ce jour là, en rentrant chez moi, je me souviens m’être entièrement dévêtu, à peine la porte fermée, y compris sous-vêtements et chaussettes et m’être précipité dans la douche. J’étais devenu un immense cendrier remplis d’une trentaine de mégots éteins et froids et développant une épouvantable odeur âcre.
Ces deux personnes fument toujours et j’imagine l’état de leurs poumons envahi de goudron.
Nous avons essayé de les raisonner, mais rien n’y fait. L’inscription « fumer tue ». Le prix élevé des paquets de cigarettes. Les discours « bienveillants » des amis. La mise en garde de leur médecin. RIEN !!!
Là encore, me vient la devise que j’ai fait mienne « Fais ce que doit, advienne que pourra »

Commentaires

Un grand débat. Personnellement le soucis est plus quand je sors. Après une soirée en pub, boite ou autre on se transforme litteralement en cendrier ambulant et tout peut passer à la machine à laver... Vivement le 01/01/08....

Écrit par : julie | 04/10/2007

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