SPINNAKER

Depuis mon retour peu de choses à vrai dire, mais des moments que je qualifierais de sympathiques, pour ne pas dire harmonieux. Le soleil d’abord qui permet de vivre en plein air et de goûter aux joies des baignades en mer ….. diable ! Voici que mon style à un goût suranné : des baignades en mer ! Bref, disais-je, rien de bien intéressant pour le lecteur qui vient de s’égarer sur mon blog. J’ai également retrouvé une bonne bande de copains autour de notre table : quelle soirée. Et puis, j’ai retrouvé également le chemin de la salle de gym avec en prime quelques belles courbatures. Vous voyez rien de bien spécial.
Ah si, ce soir j’ai écouté François Hollande qui une fois de plus ironise et critique le chef de l’état. Bien sûr il a le devoir de critiquer mais que de phrases imbéciles, d’un niveau médiocre (l'ironie et le persiflage ne sont pas dignes d'un responsable de parti ), on pourrait croire à l’entendre qu’il s’adresse à des beaufs de seconde zone réunis dans un banquet. Toujours égal à lui-même ce fossoyeur-associé du Parti Socialiste.
Et puis, ce néfaste mélange des genres « politique-vie personnelle » !
« Soucieux d'éviter une pipolisation déplacée à l'heure du retour à l'humilité du travail militant, Mme Royal et François Hollande, séparés depuis le printemps, se sont appliqués à ne pas même se croiser…. »
Autres déclarations relevées :
« "Il y a ceux qui sont là, d'autres qui ne sont pas là, et alors ?", a-t-il observé dans une allusion à l'absence de Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius, Lionel Jospin, entre autres. »
Egalement :
« "Nous sommes dans une perpétuelle mauvaise conscience, dans l'équilibrisme, le ni-ni ou dans les formules incantatoires, qui préparent souvent piteusement les compromis avec le réel". »
Bref, depuis mon retour peu de choses à vrai dire, mais des moments que je qualifierais également de routine. On échappe difficilement à la médiocrité des bagarres politiques. Celles qui vous rendent perplexes à tout jamais sur le QI de nos politiques.
Il paraît (nous en parlions à table hier soir), que je devrais lire le dernier livre de Claude Alègre qui devrait faire en moi un vrai « remue méninge » et créer un tel trouble dans ma petite tête que je n’imagine même pas quel Saint je pourrais appeler à la rescousse pour me rendre tout mon calme. Enfin !
Il est bientôt l’heure de se coucher… c’est bon ! J’arrête !