28/07/2007
Les vacances
Donc nous partons trois semaines en Maurienne dans un chalet isolé ce qui veux dire que mon blog sera plutôt stationnaire à ce jour.
Mais, mais en rentrant que de choses à raconter.
Alors à dans 3 semaines !
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26/07/2007
JULIEN (suite)
De la diversité ! De la diversité ! Il n’y a que cela pour faire d’un séjour chez des grands parents, nous en l’occurrence, des vacances réussies et je pense que Julien du haut de ses onze ans ne désapprouvera pas cette assertion.
De bien belles journées ces tout derniers jours, partagées avec ses cousines avec, comme il est d’usage de dire, la cerise sur le gâteau, hier matin.
Un coup de fil de son oncle à huit heures et demie qui nous demande si nous autorisons Julien à venir au port de la Napoule à 10 heures pour partager une journée bateau, avec les autres enfants.
Nous réveillons Julien à 9.00 heures. Les yeux encore tout embrouillés, sa mamie lâche : « Mon chéri as-tu bien dormi ? Papy va t’emmener au port et là, il se pourrait qu’un bateau t’attende ! »
Cette nouvelle a l’effet d’une bombe : « C’est vrai ? Avec qui ? Avec les cousines et tonton ? ».
Voilà la fameuse « cerise sur le gâteau » !.
Bien sûr, cette journée fût formidable, le beau temps, une mer d’huile enfin le rêve.
Au restaurant entre le choix d’un plat de poisson il préféra un bon steak frites : faut bien se faire plaisir tout de même !
Vers les 18.00 heures, son oncle le ramena à la villa, les yeux tout emplis de cette merveilleuse journée.
Merci à ce gentil tonton d’avoir fait autant plaisir à ce jeune garçon qui le mérite en tout point.
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21/07/2007
JULIEN
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12/07/2007
Se revoir, ...
Notre croisière s’est terminée depuis un bon moment, mais le fil n’est pas rompu pour autant. Bizarrerie, tout à fait par hasard nous nous étions trouvés sur le bateau à une table présentant deux places de libre, table occupée par des personnes du Var et des Alpes Maritimes comme nous.
Mais pour mieux comprendre cette bizarrerie, commençons par le commencement : en fait la toute première soirée nous étions à une table de français mais mon épouse et moi nous nous sommes aperçus que l’horaire initialement choisi ne nous convenait absolument pas.
Le lendemain, à une autre tranche horaire plus tardive, avisant le maître d’hôtel, nous nous risquons de lui demander une place pour dîner et je lui explique que nous souhaitons changer d’horaire. Aimable, il cherche deux places de libre, les trouve et nous y sommes conduits.
Problème important : nous sommes entourés d’allemands dont nous comprenons pas la langue et nous nous sentons très vite très isolés et leur conversation comme leurs rires n’ont aucune chance d’être partagés. Ce n’est pas la joie !
Le lendemain, à nouveau j’explique qu’il nous est impossible de dîner à cette table. Toujours aimable et conciliant, le maître d’hôtel, après avoir consulté son ordinateur avec soin, nous trouve deux places à une table de français : ouf !!!
Précédant mon épouse de quelques mètres, j’arrive à la table et je salue les personnes déjà installées d’un
« auriez-vous deux places pour deux nouveaux, mais je vous préviens nous sommes très sympathiques »
« Mais bien sûr, nous n’en doutons pas un seul instant »
Présentations faites, deux femmes viennent du Var, précisément de Fréjus, et un couple de Cannes. Nous sommes nous même de Mandelieu. Le contact est immédiat.
Avant-hier, nous nous sommes rendus chez ces derniers prendre le café (accompagné d’une somptueuse tarte aux pommes), et nous devons dire que nous avons passé un moment fort agréable agrémenté d’anecdotes, d’espoir de nouveaux voyages et nous sommes quittés avec la promesse de se revoir chez nous en septembre ou en octobre.
La croisière est terminée mais le fil n’est pas rompu...
00:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
07/07/2007
Mandelieu brûle t'il ?
Ce n’est pas la comptine bien connue, mais la triste réalité qui nous a fait subir une belle angoisse.
Le feu à pris sur la commune de Mandelieu, allant d’une voiture en feu (?) sur l’autoroute et se propageant à grande vitesse vers la mer, alimenté par un vent à 80 km à l’heure.
Les flammes nourries par les conifères, les eucalyptus et les mimosas résistèrent toute la nuit à la ronde incessante des canadairs, s’élevant parfois à vingt mètres de haut.
A 800 mètres à l’ouest de notre villa s’étend un golf. Son existence et par sa nudité, a canalisé le feu obligeant celui ci à continuer sa route vers la mer, agissant en quelque sorte comme coupe feu, nous évitant ainsi de nous trouver sur sa route. Les occupants des quatre villas où nous vivons, comme nous, avaient chargé leur voiture des choses les plus précieuses, prêts à abandonner les lieux en cas de changement de direction du vent qui ne cessait toujours pas. Nous étions prêts. En plus nous avions charge d’âmes à ce moment là. Une coupure de l’électricité pendant une heure rendit la situation sinistre. Enfin vers trois heure les lueurs rouges s’éloignant nous décidâmes de rester et de dormir.
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Nos ados ...
Chaque année le même manège se reproduit, sauf que là, il y a changement : changement dans les personnes, changement dans les faits.
L’année passée nos trois ados repartaient ensemble vers Paris. Cette année mon autre petite fille accompagnait sa meilleure amie du moment à l’aéroport, à destination de Paris. Une séparation les privant de poursuivre encore quelques jours ensemble leur complicité joyeuse.
Deux ados, aimables, souriantes et serviables pour peu qu’on leur demande un peu de participer à quelques tâches. Deux jeunes encore bien gamines dans leur tête, dont la principale préoccupation était de repérer les beaux ados du sexe opposé. Des rires, des grimaces, des bisous, de l’insouciance, ce qui est la moindre des choses à cet âge !
A ce jour, la deuxième est repartie et le vide qui s’est établit a rendu la maison silencieuse et calme, jusqu’à la prochaine visite. Ainsi va la vie.
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