20/05/2007
Un moment d'affection
Ce soir, je délaisse la politique un instant car mon esprit vagabonde ailleurs. Cet ailleurs c’est un moulin et ces quatre habitants. Il y a aussi les chats, de nombreux chats mais pour autant qu’ils soient aimés d’eux, ils n’ont guère d’importance, là maintenant. Je crois que ces quatre occupants que j’aime, que nous aimons tant, souffrent et sont inquiets. La maladie rend leur vie difficile, la pourrie. Certes, la guérison est à prévoir, mais la douleur lancinante rend l’attente insupportable. Je les connais assez pour savoir qu’ils ne veulent pas nous alarmer qu’ils font corps et se mettent à l’écart un moment. Nous pensons à eux très forts, puissent ces pensées leur être bénéfiques.
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