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05/01/2007

Dispersez les députés !

medium_assemblee_nationale.jpgLa politique ….
La gauche, la droite, le centre ?
La gauche et la droite, franchement c’est inextricable ! C’est du genre je dit blanc, il dit noir…., et inversement, bref c’est du genre : on s’oppose, on blackboule, on n’avance pas !
Ne parlons pas du centre qui n’est ni blanc ni noir, bref du gris bon teint ce qui n’est guère passionnant avouons le et qui, au milieu de ce panier de crabes férocement attachés à leurs prérogatives est souvent hors jeu et sans un poil d’écoute du reste de l’Assemblée.
Enfin regardez un moment l’hémicycle où siège les députés à la télévision. Regardez bien leur connivence sur leur banc, leurs chuchotements, les mots d’ordres passés en catimini, enfin les votes orchestrés …
Combien de ceux qui sont présents ont véritablement étudié le texte des lois qui sont discutées tour à tour et qui s’en remettent à leur proche voisin : "Tu as étudié ? Qu’est-ce que t’en pense ? C’est l’opposition, ne l’oublions pas, alors nous sommes contre ? OK !"
Quand je les regarde parfois (ce qui est extrêmement rare, je l’avoue), je trouve que tout cela n’est pas bien sérieux.
Bien sûr ce que je dis, est peut-être inexact et ne prend naissance que sur une simple observation de ma part.
Tout de même j’ai eu une idée très simple qui ne verra jamais le jour, j’en ai peur.
Donc alors si c’est vrai, voilà ce qu’il serait nécessaire de faire pour éviter les connivences les votes fondés sur l’avis d’un voisin de fauteuil ou bien l’observance irréfléchi du mot d’ordre d’un groupe.
Plus de gauche plus de droite, plus de centre ! du moins géographiquement !
Je propose de distribuer les sièges d’une façon aléatoire : aucun groupe ! Le pur hasard.
Votre fauteuil possède un numéro et c’est là que vous devez être, isolé du groupe auquel vous appartenez.
L’obligation enfin d’étudier les dossiers avec soin et même s’il reste la possibilité de discuter sur le parvis de la chambre ou dans les salons, il faudra au dernier moment se souvenir et se ‘mouiller’.
Peut-être accèderons nous à l’ultime honnêteté de l’intime conviction.
C’est pas beau, ça ?
Bon je viens de me pincer, pour me réveiller et retomber dans la triste réalité de cette normalité qui n’en finit pas de nous engluer.

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