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19/03/2016

coup de gueule.....

 

Ce matin j'écoutais les infos (je crois que c'est sur BMF TV) concernant l'arrestation de Salah Abdelslam. Deux informations m'ont fait sursauter. La première c'est d'entendre que cette ordure serait emprisonné dans la ville de Bruges seule ville ayant une prison adaptée au terroristes mais, disait la correspondante belge, prison dure, les prisonniers n'ont même pas de brosse à dents : Pauvres petits ! Vous vous rendez compte pas de brosse à dents !!! Cette pauvre attardée devrait être dirigée vers la porte immédiatement. J'ai également entendu que nous souhaitions le voir extradé vers la France pour y être jugé de ses crimes odieux. Et bien non ! Il paraît qu'on a besoin de son accord pour que cela soit le cas. Et oui ! Et bien moi je dis qu'on a au pouvoir une bande de dirigeants dangereux. S'abaisser à demander à cette pourriture : « Est-ce que tu veux bien être jugé en France ? Non ? Bon, c'est comme tu veux ». D'ailleurs son avocat (oui, vous ne rêvez pas!) va faire en sorte de s'y opposer. Moi, j'aimerai que l'on me dise à partir de combien de morts on décidera du sort des assassins sans demander leur opinion ? Un seuil de 200 ? peut-être de 500 ? Dites moi parce que moi je ne comprends plus rien à ces décideurs castrés...., Je dirais également mais pourquoi n'ont-ils pas descendu cette ordure alors qu'ils en ont eu mille fois l'occasion ? Les ordres supérieurs ! Ah oui, suis-je bête, ils veulent connaître son réseau ? Si vous pensez qu'il va « se mettre à table et tout déballer », vous êtes vraiment stupides de le croire. En ce qui concerne les policiers, les pauvres, je salue leur courage et leur efficacité. Sans les politiques immatures ils auraient réalisé un sans faute. Remarquables !

 

18/03/2016

Incroyable !

Sammy Davis Jr.jpgUn jour, il y a fort longtemps, vers midi, je me trouvais au Drugstore Publicis en haut des Champs Elysées à Paris pour déjeuner vite fait. J'étais assis avec un ami à une table. A un moment, un mouvement de foule nous fit relever la tête. Quelques hommes élégamment habillés, à l'américaine, complet-cravate bleu clair, arrivaient accompagné d'un homme tout aussi élégant. Je ne pus m'empêcher d'être fasciné par l'un d'entre eux tellement il se dégageait de sa personne une sorte de magnétisme. Je restais un instant interdit, comme bloqué dans une attitude béate. Mon ami me dit « Tu as vu c'est Sammy Davis Jr ! ». Lui, comme moi, restions figé sur place. Le groupe ne s'attarda pas à cet endroit de la salle et disparu entraînant Sammy Davis Jr, extrêmement souriant, laissant dans son sillage un parfum subtil. En quelques secondes quelque chose de magnétique nous avait transpercé et annihilé nos pensées. Je n'avais jamais été autant ébranlé par une personne. Je suis sûr qu'il transportait avec lui les plus vives pensées que ses innombrables ''adorateurs'' lui adressait de Las Végas à New York lors de ses apparitions. Nous étions sous la puissance d'un égrégore. L'égrégore, nous le savons, est produit par un puissant courant de pensée collective. Ainsi, lorsque plusieurs personnes se focalisent ensemble sur un même objet, avec une même intensité, ils développent une énergie commune. Nous connaissons tous cet effet stimulant, éprouvé lorsque l'on partage avec d'autres un projet passionnant ou un moment fort. L'activité concentrée rassemble les intentions de chacun en une conscience collective, qui semble porter le groupe. Les immenses artistes qui partagent leur art avec des milliers de fans, lesquels focalisent, en transe, avec une inimaginable intensité leur amour et leur émotion, ces artistes reçoivent une charge quasi magnétique développée par le nombre de participants, lors de leur prestation publique. Il en est ainsi des hommes puissants entourés, admirés et parfois idolâtrés. Leur approche n'est jamais anodine, elle laisse une impression extrêmement forte. Nous avons, bien malgré nous, expérimenté tous les deux, ce jour là, ce moment si particulier pour ne pas dire extraordinaire.

 

14/03/2016

IMPREVU douloureux

DSC_0869.JPGAlors que j'écrivais le texte sur la longue marche..., deux jours , deux petits jours après, nous apprenions qu'une grande amie à nous, que nous connaissions depuis 1968, luttait pour ne pas mourir. Victime d'une rupture d'anévrisme, elle lutte encore, rendue dans un coma provoqué, à la suite de cette rupture et de six heures d'une longue intervention. Elle était avec nous sur notre belle avenue. Combien cette nouvelle nous a bouleversé et rend notre marche suivante tellement douloureuse. Nous ne pouvons imaginer qu'elle puisse nous quitter. Nous étions si bien, tous ensemble. Nous ne savons que dire. Nous nous sentons vraiment impuissants. Espérons !