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30/08/2014

Biarritz, toujours ...

Vraiment, j’ai toujours beaucoup de plaisir à me retrouver à Biarritz, ville étonnante, et bien sûr cet océan si présent et si grandiose. Je dois avouer  que nos meilleurs amis s’y trouvent et déjà cela suffit à notre bonheur. Mais revenons à l’océan.

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Déjà le nom : océan !  Enfant, ce nom était pour moi synonyme d’évasion où je retrouvais Jules Vernes et son Vingt mille lieues sous les mers, dont la seule vue du dessin illustrant la couverture de la première édition (dont nous avions un exemplaire), à lui seul, m’ouvrait les rêves les plus fantastiques pour ne pas dire cauchemars. Avant de prendre cette photo, ci-dessus, je suis allé avec le petit fils de nos amis faire trempette. Trempette n’est pas le mot car sur la grande plage de Biarritz face au casino, l’océan pour saluer ses visiteurs téméraires avait mis le turbo !  Des vagues immenses, des murs d’eau de quatre à cinq mètres de haut que rien n’aurait pu arrêter, nous projetaient au sol dans un vacarme assourdissant. L’eau à bonne température et le jeu de piquer aussi  dans la vague avant qu’elle nous plaque comme une crêpe au fond, nous rendaient de plus en plus téméraires. Puis, comme il fallait rentrer chez nos amis, le slip chargé d’un kilo de sable que la violence des flots avait déposé, ce jeux extraordinaire s’arrêta. J’aime retrouver Biarritz, me retrouver choyé chez d’adorables amis, et me mesurer une nouvelle fois à ces vagues immenses…

 

26/08/2014

Les commémorations

hollande et les commémorations.jpgNous n’avons pas en Hollande un homme qui a la carrure d‘un  chef d’état, cela tout le monde le sait (au moins 85 % dans les derniers sondages) ,  mais par contre nous avons un spécialiste es commémorations. Dès qu’un événement mérite d’être commémoré, c’est pour lui !  Aucune réunion pour évoquer une tragédie historique ne lui échappe et le voilà qu’il accourre. Discours soigné, dépose de gerbes, embrassades, sourires enjôleurs et j’en passe tellement il est dans cette tâche éblouissant. Comme je le disais, c’est devenu un spécialiste. Enfin voilà une qualité trouvée chez cet homme mais ce qui fait notre désespoir c’est bien la seule pour le moment. Pendant que son gouvernement travaille (mal), lui se transporte un peu partout en France, à croire qu’il aime le tourisme et préfère s’éloigner de ses véritables responsabilités. : A notre avis cela l’ennuie profondément. Dans son camp, on s’inquiète !  Sa dernière astuce pour qu’on lui foute la paix c’est de pousser Manuel Valls à mettre à la porte ceux qui veulent  travailler et qui s’insurgent devant tant  d’immobilisme quand ce n’est pas de choix malheureux à revoir. Non messieurs, ne faites pas de bruit, le chef est en promenade et le bruit l’indispose. Au fait, nous pourrions tout simplement lui demander de se préparer à se rendre très prochainement à l’enterrement de notre belle France…, mais j’oubliais, il y a sans doute déjà songé et peut-être même a t-il déjà commandé la gerbe qu’il déposera à la fin de son quinquennat.

Je vous invite à lire l'excellent blog suivant qui traite de la communication : www.ginisty.com

20/08/2014

« Impossible n’est pas français ! »

En photographiant cette épave qui fût certainement un bateau fringant je réalisais un cliché qui me satisfaisait. J’étais content de cette trouvaille vue des bords de la Garonne. Content, oui, mais en l’affichant sur mon ordinateur, je recherchais à lui donner un nom. Epave ? Carcasse misérable ? Ou bien une signification ?  Quoi donc ?  Il ne me fallu pas bien longtemps pour trouver ce à quoi cela pouvait bien ressembler : la France en ce moment ! Un naufrage annoncé. L’espoir dans cette histoire ce serait quoi ?  La carcasse existant, nous pouvons espérer sauver ce petit navire le remettre à flots. Dans le fond, il reste un petit espoir, mais il y aura du boulot, une grande imagination, un coût certainement élevé… mais chez nous, c’est bien connu :  « Impossible n’est pas français ! »DSC_0150.JPG